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La ruralité en Yvelines : Le coq yvelinois sauve sa tête

Vivre à la campagne n'est pas sans problèmes. Les conflits entre "rurbains" et "ruraux " sont de plus en plus nombreux

Le chant du coq gêne :
Le coq qui chantait la nuit : la voisine exaspérée obtient 100 euros de réparation

Le tribunal de police de Mantes-la-Jolie (Yvelines) a condamné mardi le propriétaire d'un coq à verser 100 euros de dommages et intérêts à une voisine qui, incommodée par les chants nocturnes du volatile, l'assignait pour la quatrième fois pour tapage nocturne.

"Si je tue Coco d'ici le 24 juin, je n'aurai pas à verser 100 euros de dommages et intérêts pour tapage nocturne"
 lire la suite sur 20Minutes

Un coq qui chantait la nuit, perturbé par l'éclairage public du village de Drocourt (Yvelines), a sauvé sa tête devant le tribunal de police de Mantes-la-Jolie (Yvelines) où son propriétaire, poursuivi par une voisine, a été relaxé mardi. lire la suite sur 20Minutes

Et l'agriculteur de déclarer : "Je vais pouvoir laisser mon coq chanter, c'est une victoire pour l'agriculture qui n'est pas toujours aimée", a-t-il conclu."

Chez nous à Saint-Rémy l'Honoré, comme dans de nombreux villages ruraux, nous avons également nos problèmes :
Dans un article du parisien datant du 22 avril 2003,  le maire de notre village s'en  inquiètait.

"A Saint-Rémy, c'est la guerre du bruit
A SAINT-REMY L'HONORE, l'installation d'urbains en quête de tranquilité donne bien du souci au maire. "Le problème, c'(esdt qu'ils ne supportent pas le bruit, souffle Jean-Pierre Simonin. Ils viennent s'installer ici pour écouter le silence." L'élu n'en revient toujours pas : depuis un an et demi, les conflits entre les voisins qui se chamaillent pour un chien, un cheval ou un coq trop bruyants se multiplient. Dans ce village de 1300 âmes, dix huit cas de litige impliquant des riverains "récents" s'entassent aujourd'hui sur le bureau du maire. la commune a dû créer une commisssion de conciliation pour tenter de règler les conflits à l'amiable. "Je ne pensais pas que cela allait prendre de telles proportions, raconte Jean-Pierre Simoninj. Cette activité demande beaucoup de temps." Et d'énumérer "J'ai un couple qui ne supporte plus que le caniche des voisins aboie avant 9 heures le matin ; j'ai une histoire de henissement de cheval ; j'ai déjà eu des plaintes à cauyse du bruit des moissonneuses l'été ou celui des tondeuses... On le sent bien dans les rapports sociaux, il y a un refus de supporter l'autre." Philosophe, l'élu ne désespère pas de "convertir tout le monde aux sons de la campagne, parce qu'ici  aussi il y a du bruit".

Après un premier mandat, Monsieur le maire a-t-il atteint son but, faire vivre les rurbains à la campagne,
comment a évolué cette situation en 5 ans ?

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C
Nous à St Hubert , il y a quelques années, une pesonne voulait faire une pétition, pour empêcher les chevaux du haras de traverser notre hameau, car il semait derrière eux du........crottin.Je lui ai suggéré d'aller vivre à Trappes, les mobylettes ne crottent pas, ou mieux de le ramasser pour ses rosiers!!!!! L'intolérance et la bêtise se nichent partout.
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